Dans la deuxième moitié du XVe siècle, Verneuil, comme beaucoup de villes du Royaume de France, était en pleine période de reconstruction. Incendiée par les Anglais en 1356, elle avait été reconquise en 1441 par Charles VII.
Lire cet articleSitué sur la commune de Chênedouit, le château du Répas, prolongé de longues allées forestières, élève sur les hauteurs du bocage houlmois, sa masse imposante et sévère.
Lire cet articleDans nos précédents articles, nous avions vu l’essor du tourisme et des stations balnéaires en Normandie mais une autre particularité de cette période est aussi la naissance d’une architecture propre à ces sites.
Lire cet articleDe 1204, année où les îles de la Manche furent politiquement séparées de la Normandie, jusqu’à nos jours, les relations entre les pêcheurs de Guernesey et ceux du Cotentin s’avèrent quelquefois… houleuses. En centrant l’intérêt sur le XIXe siècle et le début du XXe, les concepteurs guernesiais de l’exposition présentée à Caen ont choisi de prendre un nécessaire recul face à une activité essentielle de l’économie normande, qu’elle soit insulaire ou continentale. Cette manifestation s’inscrit dans une série d’échanges entre le Musée de Normandie et ceux des bailliages de Jersey et de Guernesey, à l’occasion du 8e centenaire du rattachement de la Normandie au domaine royal français.
Lire cet articlePar trois fois, la vieille clameur normande retentit à Argentan, suivie de la récitation du Notre-Père en français. Non, il ne s’agit, ni du retour en force du droit normand dans nos prétoires, ni du tournage d’un film historique, mais d’une importante manifestation culturelle organisée par le Comité 1204, que préside Michel Greusard, à l’occasion du huitième centenaire de l’annexion de la Normandie au domaine royal français, et par voie de conséquence, du rattachement des îles de la Manche à la seule couronne d’Angleterre.
Lire cet articleIl n’est pas de rivière plus fantaisiste que l’Iton qui, après maintes circonvolutions à travers le pays de l’Eure, se permet de disparaître sous terre sur plusieurs kilomètres du côté de Damville, puis de refaire surface avant de traverser la capitale : Évreux. Mais alors, voilà que ses eaux se divisent, s’écartent en plusieurs bras, jouant à cache-cache avec les habitants. Après quoi elle va se jeter langoureusement un peu plus loin dans l’Eure après avoir salué au passage le château Renaissance d’Acquigny. Évreux, « la cité jolie », est à l’image de sa rivière, calme en apparence mais d’une incroyable diversité. Avec en plus une remarquable ténacité, capable de résister aux plus effroyables des cataclysmes, de disparaître, puis de réapparaître en suivant le cours immuable du temps, comme si de rien n’était. Combien de fois cette vieille cité opiniâtre ne fut-elle pas brûlée, pillée, massacrée ! Combien de fois, disparue dans les flammes, fut-elle prise et reprise par des assiégeants en furie… pour renaître triomphante !
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