Le pays de Bray est un territoire très étiré et plutôt étroit, qui compte dans sa partie normande trois communes d’importance posées tous les vingt kilomètres environ. Trois petites villes, suffisamment distantes les unes des autres pour jouer le rôle de centres administratifs et commerciaux, qui possèdent chacune un patrimoine à découvrir.
Lire cet articleDe par sa position singulière, à l’est de l’actuel département de Seine-Maritime, le pays de Bray fut longtemps une zone frontalière, entre peuples celtes d’abord, entre évêchés ensuite, entre royaume de France et duché de Normandie enfin. D’où son histoire pour le moins agitée jusqu’à l’annexion de la Normandie par Philippe Auguste, en 1204. En dépit de crises ponctuelles plus ou moins longues, plus ou moins violentes, on y vécut ensuite durant des lustres au rythme des saisons et des travaux des champs. Jusqu’à la catastrophe de juin 1940…
Lire cet articleQui n’a tremblé à la lecture des aventures trépidantes de Long John Silver, le pirate à la jambe de bois, et du petit Jim Hawkins, les héros du roman épique de Robert L. Stevenson L’île au trésor ? Plus récemment, une génération entière de jeunes gens s’est émerveillée au rythme des exploits du fantasque capitaine Jack Sparrow, personnage principal de la saga cinématographique Pirates des Caraïbes. À côté de ces œuvres de fiction, de nombreux Normands s’illustrèrent dans l’authentique épopée de la flibuste, contribuant à forger la légende de l’île de la Tortue et de l’étrange société des « Frères de la côte ».
Lire cet articleDepuis le 28 septembre, la chaîne BFM Normandie a commencé à émettre et à diffuser ses programmes. Nous avons posé trois questions à Gilbert Guerrand, son chef de bureau à Rouen.
Lire cet articleIl y a cent ans de cela, le 18 novembre 1922, l’auteur d’À la recherche du temps perdu s’éteignait à son domicile parisien, des suites d’une pneumonie. L’occasion pour nous de revenir sur un passage précis de son œuvre, qui concerne directement la Normandie.
Lire cet articleDans les années 1529-1531, grâce aux contributions de généreux donateurs, le clergé desservant l’église Notre-Dame d’Alençon passa commande, auprès de maîtres verriers des environs, d’une série de vitraux pour la nef de leur sanctuaire. Furent sollicités les sieurs Pierre Fourmetin, d’Alençon, Berthin Duval, du Mans, et Pierre Leclerc, d’Argentan.
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