Le patrimoine bâti du Bessin couvre tous les styles architecturaux depuis les environs de l’an mille jusqu’à nos jours. Ce sont donc dix siècles d’aventure humaine à décrypter au travers d’églises romanes champêtres, d’abbayes ou de prieurés du fond des âges, de châteaux ou de manoirs, avec leurs jardins, rappelant la puissance des grandes familles d’antan.
Lire cet articleL’histoire de Bayeux a croisé à maintes reprises la grande Histoire de France. De ses heures de gloire, la capitale du Bessin a conservé un patrimoine extraordinairement riche et varié. Le tout dans une cité à taille humaine, qui semble avoir matérialisé le vieux rêve de l’humoriste honfleurais Alphonse Allais de « construire les villes à la campagne, l’air y est plus sain ».
Lire cet articleComme tous les anciens « pays » de Normandie, le Bessin s’est forgé une identité propre, basée d’abord sur ses spécificités géologiques et géographiques, ensuite sur la façon dont les hommes l’ont colonisé et aménagé. Balayée par les souffles du grand large, cette terre fut également chahutée par les vents violents de l’Histoire, devenus ouragans de feu par un petit matin de juin 1944.
Lire cet articleC’est l’histoire d’un monument exceptionnel qui a bien failli disparaître. Longtemps abandonnée et en ruines, l’abbaye de La Lucerne a rencontré son sauveur en la personne de l’abbé Marcel Lelégard, qui y a lancé l’un des chantiers de restauration les plus ambitieux de Normandie. Une aventure au long cours, qui se poursuit encore de nos jours.
Lire cet article« Aux Braies Velues », « Serpent dans l’Œil », « sans Os », « Flanc de Fer » : à eux seuls, les surnoms attribués à Ragnarr et à ses redoutables fils par la tradition scandinave ne pouvaient que leur ouvrir à la volée les portes de la légende. Et aussi celles du petit écran, pour la série à succès Vikings ! Entre mythe et réalité, naviguons à leurs côtés sur les rapides « serpents de la mer »1.
Lire cet articleLe 11 novembre 1937, la prestigieuse Académie suédoise révèle le nom de l’heureux récipiendaire du prix Nobel de littérature annuel : la majorité des suffrages s’est portée sur Roger Martin du Gard, « pour la puissance artistique et l’authenticité avec lesquelles il a dépeint les conflits humains, ainsi que certains aspects fondamentaux de la vie contemporaine, dans son cycle romanesque Les Thibault ».
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