Dans la catégorie "orne" :

En septembre 2010, à la demande de la région Basse-Normandie, le Comité Régional du Tourisme a lancé un appel à initiatives autour de la célébration du onzième centenaire normand. Moisson inégale, mais somme toute fructueuse : c’est plus de 200 projets qui devraient voir le jour d’ici à octobre sur les plans culturel et festif.

Marie-Anne Lenormand, 1768-1843 ! Quand on songe qu’elle a vu le jour en septembre de 1768 et que l’on continue, aujourd'hui, à lui vouer un véritable culte. Ce qui est sûr c'est que ce n'est pas sa beauté qui l'a rendue célèbre puisque ses portraits nous la présentent comme étant grosse, rougeaude, avec un nez d'une épaisseur bouleversante.

Un mois avant les Jeux Équestres Mondiaux de Lexington, l’équipe de France de concours complet est venue s’entraîner à Deauville. Dix jours plus tôt, les cavaliers prétendants pour le Kentucky se produisaient en situation devant le sélectionneur national Laurent Bousquet sur les terres ancestrales du Haras du Pin.

Du 13 au 18 juillet, le Haras du Pin a vibré au rythme de voitures hippomobiles venues de dix pays d’Europe. Ces 3e Rendez-vous de l’Attelage constituent en France la plus importante manifestation d’une discipline encore peu connue.

Bagnoles-de-l’Orne, petite cité normande, ne serait toujours qu’un vallon au charme romantique, au sein du plus forestier des départements bas-normands, si la nature n’y avait fait apparaître une source aux indéniables vertus curatives. Ce sont donc ses eaux qui ont permis à Bagnoles d’accéder à une notoriété nationale voire internationale. 

Il était une époque pendant laquelle les habitants de Normandie se paraient de costumes colorés tandis que les femmes portaient des coiffes plus ou moins extravagantes. Cela n’a duré qu’un temps, de la Révolution de 1789 jusqu’en 1870 environ. Nous voulons évoquer ici les petites gens et certains bourgeois de la campagne car à la ville et surtout à la cour on ne se privait pas d’excentricités. À cette époque, chaque pays normand, chaque village, chaque paroisse même avait son costume caractéristique, sa coiffe typique et on s’habillait pas de la même façon dans le bocage virois, dans le pays de Caux ou dans le Vexin normand.