- Que l’on assiège Rouen ! décide Catherine de Médicis au début du mois d’octobre de 1562. Il faut absolument que nous récupérions cette ville qui est aux mains des Calvinistes !
Lire cet articleJ'ai beaucoup ri, l'autre jour, en lisant cette réflexion de notre Alphonse Allais d'Honfleur : « L'avantage des médecins, c'est que lorsqu'ils commettent une erreur, ils l'enterrent tout de suite ». « Le travail c'est la santé ! Mais à quoi sert alors la médecine du travail ? », s'interrogeait de son côté Pierre Dac.
Lire cet articleÀ l'occasion d'une halte faite dans la belle capitale des Abrincates, j'ai pu noter que lycée de la ville portait le nom d'Émile Littré. Je me suis alors posé deux questions. Premièrement, les élèves de cet établissement scolaire possèdent-ils tous le dictionnaire éponyme dont les premiers fascicules ont vu le jour en de septembre 1863 ?
Lire cet articleSi j’avais vécu à son époque, j’aurais sans doute été très amoureux, moi aussi, d’Alphonsine Duplessis, de cette Normande de l’Orne qui commence sa vie en 1824 dans une pauvre bicoque de Nonant-le-Pin, au fond de laquelle elle a d’ailleurs failli mourir quand elle était encore une gamine !
Lire cet article- L’ai je-bien descendu ? En longeant la Côte Fleurie, entre Villerville et Trouville, j’ai eu une pensée émue pour cette comédienne qui, un soir de 1933, au pied de l’escalier Dorian du Casino de Paris, a lancé cette phrase devenue mythique, cette comédienne qui est venue mourir trente-trois ans plus tard au château de Hennequeville.
Lire cet articleCet académicien, enterré à Varengeville, fut lui-même un grand séducteur. Un jour, par exemple, il prend pour maîtresse une jeune comédienne dont il devient follement amoureux et il passe alors son temps à lui écrire des lettres extrêmement adorables.
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