La semaine du goût prend tout son sens, lorsqu’il s’agit de découvrir les richesses de notre terroir. Premières approches et premières découvertes. Le marché du samedi matin : les enfants se sont promenés au milieu des allées et ont découvert fruits et légumes de toutes les formes et de toutes les couleurs. ls ont fait quelques emple
Lire cet articleAprès les ravages de 1944, Bayeux est demeurée intacte, toujours enchassée dans un écrin de verdure, cité vieille de deux millénaires qui est la plus belle ville normande ; elle en est un peu une capitale patrimoniale, cité où aimait résider Rollon…
Lire cet articleÀ l’instar de tous les représentants du règne animal, les chevaux présentent la particularité de ne pas pouvoir expliquer à quel endroit ils ont mal ! Cet inconvénient devient crucial quand ils représentent un lourd investissement et la promesse de gains importants sur les carrières de sport ou les champs de course. Désormais, grâce au CIRALE, les images parlent à leur place pour exprimer leur souffrance. Une structure unique en France qui attire des propriétaires et des chercheurs du monde entier.
Lire cet articleTout comme les hommes, les bateaux ont leur destin. Ils naissent et meurent. Entre ces deux événements prévisibles, il en est d’autres qui sont liés aux circonstances. Parfois, ils sont malades, on les croit à l’agonie et, contre toute attente, ils se relèvent et repartent de plus belle. Pour le Saint-Maurice, les médecins qui se relaient à son chevet laissent entendre une prochaine rémission.
Lire cet articleEst-ce l’épilogue du lamentable feuilleton de la pseudo-restauration du donjon de Falaise ? Le 24 novembre dernier, le Tribunal correctionnel de Caen a condamné Bruno Decaris à 3000 euros d’amende. Pas, comme on pouvait l’espérer, pour offense au patrimoine monumental normand, mais pour simple infraction au code de l’urbanisme ! Un banal défaut de déclaration de travaux, doublé d’une réalisation en zone protégée.
Lire cet articleL’abandon de la messe en latin, l’introduction de guitares dans les églises, des paroles un peu niaises qui relèvent plus des chants scouts que de la musique religieuse, un pseudo-modernisme en vogue aux JMJ, ont contribué à faire du chant grégorien un art oublié, rangé au garage comme un véhicule vénérable qui suscite l’admiration, mais qu’on a renoncé à conduire… Pourtant, il est encore bien vivant, ainsi qu’en témoigne un CD récemment enregistré en Cotentin. Car il existe un plain-chant normand, forgé par des siècles de tradition coutançaise.
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