Les ducs de Normandie possédaient un certain nombre de résidences occasionnelles. Parmi celles-ci, Lillebonne a tenu un grand rôle puisque c’est là que Guillaume le Conquérant va convaincre ses barons d’envahir l’Angleterre. Malheureusement ce somptueux édifice roman est détruit en 1832. Fort heureusement des gravures et autres dessins en ont gardé la mémoire…
Lire cet articleCent ans, tous ses mâts et cordages, toutes ses voiles et vergues : le Marité, devenu l’un des emblèmes de la ville de Granville, a soufflé ses cent bougies le 24 juin dernier. C’est en effet le 24 juin 1923 que ce superbe terre-neuvier fut béni à Fécamp par le goupillon de l’abbé Lecadre.
Lire cet articleLa statue de Rollon, qui se dresse dans les jardins de l’hôtel de ville de Rouen, au chevet de l’abbatiale Saint-Ouen, avait bénéficié d’une restauration intégrale peu avant les commémorations des 1100 ans de la fondation de la Normandie. Malheureusement, des imbéciles s’étaient amusés à vandaliser cette œuvre du sculpteur Arsène Letellier, b
Lire cet article« Nos jardins sont nos principaux fournisseurs », se réjouit Pierre Caillet en sa table étoilée de Valmont, du côté de Fécamp. Un MOF enraciné qui s’est vite révélé un locavore d’excellence.
Lire cet article« Je regarde un tableau ; il faut que je m’entretienne avec une statue » écrivait Denis Diderot dans ses Observations sur la sculpture et sur Bouchardon. Ce besoin ressenti par le philosophe des Lumières, le sculpteur et paysagiste normand Jean-Marc de Pas offre à tout un chacun l’opportunité de l’éprouver dans le parc de son château de Bois-Guilbert, à la lisière du pays de Bray. Voyage aux frontières du réel et de l’imaginaire, dans un site hanté par de grands esprits de naguère, notamment celui de Pierre Le Pesant de Boisguilbert, ce qui vaut au domaine le double label de « Maison des Illustres » et de « Jardin remarquable ».
Lire cet articleVers la fin de l’année 1636 ou au début de l’année 1637, Pierre Corneille fait donner les premières représentations de son Cid, une tragi-comédie en cinq actes qui reçoit aussitôt un accueil triomphal de la part du public. Ce succès n’est pas du goût de tout le monde et déclenche des échanges violents entre un auteur visionnaire et ses défenseurs, et les tenants farouches de l’orthodoxie. De véritables passes d’armes, où les plumes et les bons mots remplacent fleurets ou épées…
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