Tout comme les hommes, les bateaux ont leur destin. Ils naissent et meurent. Entre ces deux événements prévisibles, il en est d’autres qui sont liés aux circonstances. Parfois, ils sont malades, on les croit à l’agonie et, contre toute attente, ils se relèvent et repartent de plus belle. Pour le Saint-Maurice, les médecins qui se relaient à son chevet laissent entendre une prochaine rémission.
Lire cet articleL’abandon de la messe en latin, l’introduction de guitares dans les églises, des paroles un peu niaises qui relèvent plus des chants scouts que de la musique religieuse, un pseudo-modernisme en vogue aux JMJ, ont contribué à faire du chant grégorien un art oublié, rangé au garage comme un véhicule vénérable qui suscite l’admiration, mais qu’on a renoncé à conduire… Pourtant, il est encore bien vivant, ainsi qu’en témoigne un CD récemment enregistré en Cotentin. Car il existe un plain-chant normand, forgé par des siècles de tradition coutançaise.
Lire cet articleDe Morsalines, près de Quettehou, à Rampan, près de Saint-Lô, de l’estuaire de l’Ay, à Saon, aux portes de Bayeux, le Parc Naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin couvre toute la base de la presqu’île. Le site des Ponts d’Ouve en est le point d’accueil qu’il faut découvrir.
Lire cet articleAvez-vous jamais, vous qui lisez ces pages, voyagé à travers ces marais du Cotentin qui sont assez vastes pour que seulement les traverser puisse vous paraître un voyage ? Le plus parisien de nos auteurs normands n’a jamais renié ses origines cotentinaises. Bien au contraire, le célèbre dandy a toujours fait de son pays sa principale source d’inspiration. Né à Saint-Sauveur-le-Vicomte, comment eût-il pu négliger la réalité géographique de son environnement ? De la Vire à la Douve, de la baie des Veys à la lande de Lessay, les marais hantent son œuvre romanesque. Un prêtre marié, L’Ensorcelée, Ce qui ne meurt pas en ont gardé l’empreinte indélébile. Errance littéraire sur le réseau paludéen du Cotentin.
Lire cet articleOn ne s’en rend pas toujours bien compte : les associations culturelles régionales effectuent un travail discret, opiniâtre et prolongé qui finit par porter ses fruits. Témoins de cet effort, deux publications récentes, l’une à Bricquebec, l’autre à Coutances, qui relèvent l’une et l’autre d’une volonté commune de protéger, développer, faire vivre not’ loceis. Saluons le travail de ces Normands passionnés qui, sans compter, donnent de leurs forces et de leur temps pour sauvegarder un pan essentiel de notre patrimoine culturel : sa langue.
Lire cet articleDans notre précédent numéro, nous évoquions Les Escadres entre Granville et Chausey. Nous revenons sur l’un des voiliers présentés : La Granvillaise, une bisquine de construction récente, véritable reconstitution à l’identique d’un modèle plus que centenaire.
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