Vue aérienne du chantier de fouilles archéologiques de la place de la République de Caen, en 2021. (© Arpanum / Arnaud Poirier ; montage photographique musée de Normandie – Ville de Caen / Claire Bénard) Extrait Patrimoine Normand n°131 Par Paul Chaffenet. Le vray pourtraict de la ville de Caen, estampe de 1575 par François de Belleforest. Les Petits Prés correspondent à l’encadré rouge. (© Caen, musée des Beaux-Arts, fonds Mancel, M. 398. 4)...
Lire cet articlePartie de la Table de Peutinger concernant la Normandie actuelle. Les cités « normandes » sont mises en évidence dans des encadrés rouges. Ce n’est qu’un infime morceau de la carte qui mesure plus de six mètres. Copie Von Scheyb datée du XVIIIe siècle. (© Österreichische Nationalbibliothek) Extrait Patrimoine Normand n°129 Par Yves Buffetaut. La borne milliaire du Manoir (Ier siècle) anciennement placée dans la commune du Manoir, dans le Bessin, est conserv...
Lire cet articleDepuis l’émergence de l’archéologie préventive à la fin des années 1980, les côtes et le sol de la région normande n’ont cessé de livrer des vestiges de la bataille qui s’est livrée du 6 juin à la fin du mois d’août 1944 entre les forces alliées, américaines, britanniques et canadiennes, et les troupes d’occupation du IIIe Reich. Depuis 2014, ces découvertes alimentent une nouvelle thématique de recherche liée à l’histoire matérielle et anthropologique du conflit ainsi qu’aux enjeux mémoriels qui en découlent aujourd’hui, dont la candidature des plages du Débarquement à la liste pour une inscription au patrimoine mondial de l’Unesco.
Lire cet articleLes ducs de Normandie possédaient un certain nombre de résidences occasionnelles. Parmi celles-ci, Lillebonne a tenu un grand rôle puisque c’est là que Guillaume le Conquérant va convaincre ses barons d’envahir l’Angleterre. Malheureusement ce somptueux édifice roman est détruit en 1832. Fort heureusement des gravures et autres dessins en ont gardé la mémoire…
Lire cet articleLe musée Thomas-Henry à Cherbourg-en-Cotentin met l’archéologie à l’honneur grâce à deux expositions qui se succéderont de 2022 à 2024 : ArchéoCotentin 1 et 2. La première, qui avait pour ambition de faire découvrir une large période, de la Préhistoire au début de l’Antiquité, soit 300 000 ans d’histoire tout de même, vient de s’achever en mars de cette année. Ce sont désormais les périodes les plus récentes, de l’Antiquité à la fin du Moyen Âge, qui font l’objet d’une présentation au public. Ces deux manifestations sont l’occasion de faire découvrir, dans ces quelques lignes de Patrimoine Normand, un premier bilan de cette archéologie de la Préhistoire et de la Protohistoire du Cotentin.
Lire cet articleEn manquant de faire disparaître l’abbaye de Jumièges, la Révolution française et les destructions qui l’on suivie en ont fait, comme on l’affirme souvent, « la plus belle ruine de France ». C’est dans un vaste parc arboré, hérité du XIXe siècle, que se dressent ses tours culminant à près de cinquante mètres. Tel un phare, elles attirent les visiteurs depuis la forêt Brotonne, la Seine et les communes environnantes.
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