Cette estampe de Lanté et Gatine, publiée en 1827 (planche n° 84), nous montre le costume, ou plutôt la coiffe, d’Avranches au XIXe siècle. Selon le commentaire de la planche à cette époque : « Outre que le fond est très ample, le corps du bonnet présente plus de largeur que nous avons vu aux bonnets précédents (ceux des autres pays normands, NDA) ; quant à la manière dont le papillon s’écarte des joues, on trouve quelque chose du bonnet de Coutances. » Pour l&rs...
Lire cet articleFond d’une bassinoire « cerné » (flanc marqué en son centre avant retreinte). XVIIIe siècle. (Photo Xavier Hourblin © Patrimoine Normand.) Extrait Patrimoine Normand n°45 Par Jean-Xavier de Saint-Jores. Corps de bouilloire monté d’une seule pièce par retreinte. À noter le fond « cerné » et l’assemblage du bec verseur par soudure sur découpe en dents de loup. XIXe siècle. (Photo Xavier Hourblin © Patrim...
Lire cet articlePlanche 25. Costume du Coutances décrit ainsi en 1827 par L. Lanté : « Le fond de ce bonnet est aplati, et les ailes du papillon se prolongent fort loin derrière les oreilles. C’est la coiffe des jours ouvrables pour une femme de la classe aisée ». (Coll. Patrimoine Normand.) Extrait Patrimoine Normand n°44. Par Georges Bernage. L’article précédent nous a présenté deux exemples du costume féminin de Saint-Lô au début du XIXe siècle, nous voici dan...
Lire cet articleCette planche de l’album de Lanté et Gatine (n° 74) nous montre une bourgeoise de Saint-Lô vers 1819. Elle est coiffée du « Sabot », bonnet rond reconnaissable à sa coiffe haute et étroite, plissée et raidie par une armature et revenant habituellement vers l’avant en forme de « sabot ». Dans ses observations, L.-M. Lanté note que « bien empesés et passés au fer, le fond et le “papillon” (les volants) de ce bonnet ont pris une direction horizontale. » Il ajoute...
Lire cet articleÀ gauche : Pavé estampé à motif floral ou végétal s’inspirant des décors de la ferronnerie. Estampe peu marquée, décor à l’engobe. D’une dimension de 106 mm de côté et de 26 mm d’épaisseur, la pâte est de couleur brun-roux, engobe blanche, glaçure translucide jaune. Cet élément de décor est complet avec seize pièces. À droite : Pavé estampé à motif également d’inspiration florale e...
Lire cet articleLes coffrets peints normands sont connus sous diverses appellations, la plus usitée étant celle de « coffres de Rouen », principale ville de leur production. D’autres désignations se rencontrent cependant, en fonction de leurs « pays » de commercialisation ou d’utilisation : coffres de Granville, coffres de Honfleur, coffres de mariage ou de marins. Les sources documentaires étant peu nombreuses, que sait-on aujourd’hui de cet art populaire propre à notre province et malheureusement tombé dans l’oubli.
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