L’abandon de la messe en latin, l’introduction de guitares dans les églises, des paroles un peu niaises qui relèvent plus des chants scouts que de la musique religieuse, un pseudo-modernisme en vogue aux JMJ, ont contribué à faire du chant grégorien un art oublié, rangé au garage comme un véhicule vénérable qui suscite l’admiration, mais qu’on a renoncé à conduire… Pourtant, il est encore bien vivant, ainsi qu’en témoigne un CD récemment enregistré en Cotentin. Car il existe un plain-chant normand, forgé par des siècles de tradition coutançaise.
Lire cet articleAu XVIe siècle les guerres de religion avaient été désastreuses pour le patrimoine religieux.
Lire cet articleDans les villages du Cotentin, le plus souvent les cimetières sont restés implantés autour de l’église, selon l’adage de l’abbé Chesnel, curé de Couloudray vers 1875 : « Il est bon que les morts reposent à l’ombre du sanctuaire ».
Lire cet articleSaint-Germain-de-Clairefeuille, village de 170 habitants à 3 km de Nonant-le-Pin, était au Moyen Âge une importante paroisse peuplée d’environ un millier d’habitants et dont l’église était une des plus grandes de la région.
Lire cet articleL’église « vivante et parlante » de l’abbé Victor Paysant a retrouvé ses couleurs.
Lire cet articleDes jardins de pierre, cernés par de hauts murs. Massifs, pelouses, haies ou rosiers avoisinent un très ancien colombier, un porche monumental, une tour-lanterne carrée qui domine l’ensemble architectural au cœur de la nature avranchine. Contre le temps, les éléments et les hommes, La Lucerne a décidé de ne pas mourir : depuis près d’un demi-siècle, elle revient même à la vie, patiemment, obstinément, et retrouve peu à peu son aspect d’origine.
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