Dans la deuxième moitié du XVe siècle, Verneuil, comme beaucoup de villes du Royaume de France, était en pleine période de reconstruction. Incendiée par les Anglais en 1356, elle avait été reconquise en 1441 par Charles VII.
Lire cet articleIl n’est pas de rivière plus fantaisiste que l’Iton qui, après maintes circonvolutions à travers le pays de l’Eure, se permet de disparaître sous terre sur plusieurs kilomètres du côté de Damville, puis de refaire surface avant de traverser la capitale : Évreux. Mais alors, voilà que ses eaux se divisent, s’écartent en plusieurs bras, jouant à cache-cache avec les habitants. Après quoi elle va se jeter langoureusement un peu plus loin dans l’Eure après avoir salué au passage le château Renaissance d’Acquigny. Évreux, « la cité jolie », est à l’image de sa rivière, calme en apparence mais d’une incroyable diversité. Avec en plus une remarquable ténacité, capable de résister aux plus effroyables des cataclysmes, de disparaître, puis de réapparaître en suivant le cours immuable du temps, comme si de rien n’était. Combien de fois cette vieille cité opiniâtre ne fut-elle pas brûlée, pillée, massacrée ! Combien de fois, disparue dans les flammes, fut-elle prise et reprise par des assiégeants en furie… pour renaître triomphante !
Lire cet articleSurplombant la vallée de l’Eure, le vaste plateau de Saint-André et de La Couture-Boussey qui s’étend de la forêt de Merey à la forêt d’Ivry, et que l’horizon barre d’un trait infini, a vu se dérouler en mars 1590 une bataille décisive.?D’un côté le « gros » Mayenne à la tête des Ligueurs du front des Catholiques ; de l’autre Henri IV et son armée de Huguenots sur la route royale qui devait le conduire vers Paris.
Lire cet articleLa renaissance de l’église Saint-Jacques-de-Compostelle à La Boissière. Tout un village autour de son église.
Lire cet articleNous terminons notre parcours par une sélection de quelques porches précédemment évoqués qui offre une variété des styles rencontrés dans le Pays d’Auge.
Lire cet articleLangoureusement coule la Seine. Fleuve mythique et mystérieux, elle coupe en deux la Normandie en de lents courants ondulants. Entre Rouen et la mer, sur une distance de quelque 130 km, avant les travaux d'endiguement, la Seine-Maritime constituait jadis une sorte de longue rade intérieure avec des hauts fonds et des fosses plus ou moins profondes qui rendaient la navigation périlleuse. Actuellement, si son parcours offre moins de danger pour les bateaux, il nécessite quand même le concours de pilotes expérimentés. Mais depuis toujours, ce fleuve vivant s'est docilement prêté aux passages des hommes entre ses deux rives, malgré ses bancs mouvants et chenaux capricieux.
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