Alexandra et Jacques Tirel, sauveteurs de saveurs. (© Jean-Luc Péchinot)
Des betteraves roses, des haricots violets, des navets jaunes… : ces légumes-là respirent la santé. Car chez les Tirel, à Bretteville-sur-Ay, sur la côte ouest du Cotentin, on cultive la couleur… et l’excellence. De carottes en panais et de choux en poire de terre, c’est à en devenir végétarien.
Des navets jaunes, des haricots violets, des betteraves roses… : chez les Tirel, on cultive aussi la couleur. Pour en mettre plein la vue : « Faut que ça donne envie, car les yeux aussi ouvrent l’appétit », résume Alexandra Tirel, qui aime citer Claude Lévi-Strauss : « Pour qu’un aliment soit bon à manger, il faut d’abord qu’il soit bon à penser. »
Une Alexandra clerc de notaire, jusqu’à ce qu’elle ose, il y a dix ans, mettre les pieds dans la terre. Celle de papa, pas loin de la retraite : « Avec ma sœur Maïté, qui fait les comptes, on a voulu pérenniser ce qu’il avait monté. » Une belle petite entreprise d’une trentaine de salariés, qui s’est fait un nom avec de la carotte, le père de Jacques Tirel, Maurice, ayant lancé la fameuse Créances à la fin des an...
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