Le monument à Jean-François Millet de Gréville-Hague. (Photo Rodolphe Corbin © Patrimoine Normand)
Le 20 janvier 1875 s’éteignait à Barbizon, en forêt de Fontainebleau, le peintre normand Jean-François Millet. Né en 1814 au hameau de Gruchy, dans la Hague, il se fit un nom à Cherbourg comme portraitiste. Il devint ensuite un chantre de la vie rurale, fixant sur sa toile le geste du semeur, la besogne des glaneuses, la piété des paysans à l’heure de l’angélus… Il appartient au réalisme, courant artistique né au XIXe siècle qui s’inspire de la nature et de scènes du quotidien. Deux expositions temporaires sont prévues cette année dans sa maison natale transformée en musée : (Bonjour monsieur Millet), Paysages contemporains de Valérie Boyce (du 5 avril au 2 novembre) et Paysages de La Hague – Maurice Pigeon, Émile Dorrée et Lucien Goubert (à partir du 5 avril).
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