Le très célèbre journal de Gilles de Gouberville constitue une source d’informations inépuisable sur la vie quotidienne dans le Val de Saire au milieu du XVIe siècle. Ce journal, qui court sur les années 1550-1562 et dans lequel l’auteur consigne jour après jour et avec une précision incroyable toutes ses activités, mentionne à plusieurs reprises l’étang de Gattemare.
Lire cet articleNous avons présenté dans le précédent numéro de Patrimoine Normand le bourg de Gatteville et ses alentours, la côte, le phare. Nous poursuivons maintenant notre visite avec les différents hameaux, Imbranville, Rauville, Denneville, Néhou et Quénanville, tous situés à l’intérieur des terres et sur lesquels se pressent de nombreuses demeures et manoirs, caractéristiques de la très belle architecture du Val de Saire.
Lire cet articleCe doit être le neuvième. Quand on aime, on ne compte pas. Un nouveau Magène, c’est toujours un événement, surtout que l’association sait nous ménager des surprises.
Lire cet articleLa fête des Rouaisons est se déroule tous les ans dans un lieu différent, aux environs de l’Ascension, pour correspondre à la fête religieuse. Son but est de rassembler toutes les communautés d’expression normande des Iles anglo-normandes à la Seine-Maritime, en passant par tous les territoires de Normandie. Ce fut Montebourg en 1998, Jersey en 1999, Guernesey en 2000, Coutances en 2001, Jersey en 2002, Guernesey en 2003, Bayeux en 2004, Jersey en 2005, Guernesey en 2006 et cette année Bricquebec du 14 au 20 mai.
Lire cet articleLorsque l’on cite les églises romanes du Nord-Cotentin, Lessay arrive en tête, puis Octeville, Tollevast, peut-être Couville, mais… Magneville ? Cette petite église est beaucoup moins connue. Pourtant, c’est un petit bijou dont l’architecture montre l’évolution des techniques de construction du roman au gothique. Et pour ceux qui la connaissent, cette église exerce aussi une fascination par les motifs sculptés de ses chapiteaux et surtout par ses fonts baptismaux qui ont posé bien des interrogations.
Lire cet articleIl y avait là matière à une Diabolique de plus, et sans doute le Connétable des lettres y a-t-il pensé, car les amours sulfureuses de Julien et de Marguerite s’inscrivent parfaitement dans la lignée des célèbres nouvelles, dans l’esprit du Rideau cramoisi et du Bonheur dans le crime, entachées elles aussi de relations troubles et cachées. Il n’en a pas été ainsi.
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