Ouvrir les yeux, se laisser séduire par une architecture originale, inattendue, il n'en faut pas plus pour retrouver un architecte presque totalement oubliée en moins de 50 ans. Pourtant Camille Albert est arrivé à Fécamp en 1882, à l'âge de 30 ans, et il y est décédé pendant la dernière guerre. Il a donc vécu 60 ans dans cette ville qu'il a su marquer de façon indélébile, l'œuvre de l'artiste est présente au détour des rues de Fécamp et la campagne environnante est jalonnée de somptueux châteaux commandés par de puissants bourgeois. Quelques photos, un rapide aperçu des étapes de sa carrière aideront à comprendre le savoir-faire et l'originalité de cet architecte talentueux.
Lire cet articleOn s’imagine généralement Jules Amédée Barbey d‘Aurevilly, soit en dandy évoluant avec suffisance parmi les mondanités d’un salon parisien en vogue, soit en altier hobereau replié sur ses terres du Cotentin, à l’image d’un aristocrate provincial des Diaboliques. On sait moins que le Connétable des Lettres a passé à Caen plusieurs années qui ont initié son parcours en le marquant d’une trace indélébile.
Lire cet articleEn 2008 on célèbre le bicentenaire de Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1889) - tel qu’en lui-même.
Lire cet articleLes collections du musée Baron-Gérard, fermé le 31 décembre 2001, occupent l’Hôtel du Doyen depuis le 1er juin 2002. Un hébergement provisoire en attendant la mise aux normes de l’ancien palais épiscopal. Si le nom du baron Gérard évoque immanquablement le musée Municipal de Bayeux, on ne sait pas toujours ce que ce patronyme représente dans l’évolution culturelle du Bessin.
Lire cet articleÀ quoi pouvait-il bien ressembler, le plus célèbre des Normands ? De notre duc, aucun portrait réaliste ne nous est parvenu, et pour cause : ce n’était pas l’usage alors de reproduire trait pour trait le visage des grands de ce monde. Aussi les représentations qui nous sont parvenues relèvent-elles d’une pure convention propre à l’époque médiévale.
Lire cet articleVoyageur infatigable et curieux tout au long de sa vie, Alexandre Dumas parcourut l’Europe et le Maghreb. Il n’est que de lire les nombreux volumes de ses Impressions de voyage pour s’en convaincre. Mais la mer l’attirait plus que tout : « Il y a pour moi, dans la vue de la mer, dans l’aspiration de ses âcres senteurs, dans son murmure éternel, une fascination immense. Quand il y a longtemps que je n’ai vu la mer, je m’ennuie d’elle comme d’une maîtresse bien-aimée, et, bon gré mal gré, il faut que je revienne, pour la vingtième fois, respirer son haleine et savourer ses baisers. »
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