« Pays de richesse paysanne et de souvenirs historiques », comme l’écrit Claude Pithois, le Val de Saire séduit le visiteur par ses contrastes. Aux paysages pittoresques et parfois un peu mystérieux de l’intérieur des terres, s’oppose l’opulence de la plaine côtière, débordante d’activité, avec sa côte découpée aux multiples criques de sable fin et ses villages de granit qui semblent défier le temps. C’est dans l’un de ces villages, Réville, que nous commencerons ces promenades en Val de Saire, à la découverte de l’histoire et du patrimoine d’une des plus belles contrées du Cotentin.
Lire cet articleCette troisième promenade à la redécouverte de cette cité normande, qui fut l’une des plus belles de France, reprend à l’église Saint-Jacques.
Lire cet articleAprès l'église de la Madeleine, suite de la balade dans Verneuil.
Lire cet articleAprès la découverte de l’histoire de la ville, de sa cathédrale et d’un quartier relativement préservé, nous abordons le centre de Lisieux où les destructions furent terribles.
Lire cet articleLisieux est bâtie au confluent de la Touques et de l’Orbiquet, encadrée de collines à l’orient et au couchant. Dès l’époque gauloise, un site proche du centre-ville actuel, à trois kilomètres au sud-ouest, l’oppidum du Castellier, est le siège de la tribu gauloise des Lexoviens, les Lexovii. Cette importante tribu gauloise est citée par César dans ses Commentaires.
Lire cet articleIl n’est pas de rivière plus fantaisiste que l’Iton qui, après maintes circonvolutions à travers le pays de l’Eure, se permet de disparaître sous terre sur plusieurs kilomètres du côté de Damville, puis de refaire surface avant de traverser la capitale : Évreux. Mais alors, voilà que ses eaux se divisent, s’écartent en plusieurs bras, jouant à cache-cache avec les habitants. Après quoi elle va se jeter langoureusement un peu plus loin dans l’Eure après avoir salué au passage le château Renaissance d’Acquigny. Évreux, « la cité jolie », est à l’image de sa rivière, calme en apparence mais d’une incroyable diversité. Avec en plus une remarquable ténacité, capable de résister aux plus effroyables des cataclysmes, de disparaître, puis de réapparaître en suivant le cours immuable du temps, comme si de rien n’était. Combien de fois cette vieille cité opiniâtre ne fut-elle pas brûlée, pillée, massacrée ! Combien de fois, disparue dans les flammes, fut-elle prise et reprise par des assiégeants en furie… pour renaître triomphante !
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