70 ans après le débarquement allié en Normandie, on est toujours étonné de découvrir des résistants ayant joué un rôle important dans le maquis, mais dont les noms ont été mystérieusement oubliés. En cette année 2014 placée sous le signe du souvenir, portrait des actions de l'un de ces héros méconnus.
Lire cet articleÀ l’origine, la chaumière est une maison plutôt modeste, construite avec les matériaux locaux tels que le bois pour l’ossature et les colombages, le torchis pour les murs, et la paille de blé ou de seigle pour la couverture. Après une période de déclin, ce type d’habitat a regagné la faveur d’amateurs d’authenticité, même si
Lire cet articleL'histoire du Bec-Hellouin est indissociable de celle de son abbaye, fondée il y a presque mille ans de cela par un chevalier soudainement touché par la grâce. La commune appartient aujourd'hui à la famille restreinte des Plus beaux villages de France et a dignement représenté la Normandie, avec Barfleur, dans la première édition de l'émission de France 2 Le village préféré des Français.
Lire cet articleÀ la fin du IXe siècle, dans la Vita sanctae Opportunae (Vie de sainte Opportune), Adelhem, évêque de Sées, explique comment son héroïne parvient un jour « à un certain monastère, près de la ville de Sées, qui était situé dans la forêt d'Auge ». Ainsi le nom Algia émerge-t-il pour la première fois des limbes de l'Histoire. Deux siècles plus tard, Guillaume le Conquérant (1035-1087 en Normandie) donne à l'abbaye du Bec-Hellouin « les églises d'Auge qui appartenaient au comte Gilbert [ndla : de Brionne]. » Il semble donc qu'à cette époque, l'Auge soit une entité géographique parfaitement identifiée et reconnue. Il existe d'ailleurs peut-être déjà une vicomté d'Auge et un archidiaconé d'Auge, les deux étant dûment attestés un peu plus tard. Au XVIIIe siècle, l'étendue
Lire cet article1348 : la Peste Noire, encore appelée la Grande Peste, fait son apparition dans le royaume de France, déjà cruellement meurtri par la guerre de Cent Ans qui voit s’affronter Anglais et Français depuis 1337.
Lire cet articleAu printemps 1952, le réalisateur Jean Boyer installe sa caméra dans le Pays d’Ouche (Eure). Auteur de nombreuses comédies légères, il compte tourner Le Trou normand avec son acteur fétiche du moment, Bourvil. À ses côtés, une adolescente de 17 ans fait ses débuts au cinéma : Brigitte Bardot. L’actrice gardera un très mauvais souvenir du tournage : « si l’enfer existe sur cette terre, ce premier film en fut un exemple ».
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