Ô combien Valognes était chère au cœur des Cotentinais. Au milieu d’une pléiade d’hôtels particuliers, qui en faisait un « Versailles Normand », se dressait son église, joyau au milieu de ces grands édifices. En juin 1944, la ville fut frappée en son cœur. Mais elle reste chère aux Cotentinais. Malgré la plaie mal cicatrisée, l’essentiel demeure et, progressivement, tout est remis en valeur. Si vous ne connaissez pas encore Valognes, allez-y. Vous serez au centre d’un superbe pays normand, le Nord-Cotentin.
Si la pierre de Valognes est une « valeur sûre », le progrès amène bien des choses nouvelles et certaines bien fragiles… comme l’informatique. Ces nouveaux procédés nous permettent de vous proposer des numéros richement illustrés mais les « fichiers » font quelquefois quelques fantaisies et trois lignes de fin d’article se sont perdues… trois fois. Nous vous les redonnons ici pour que vous ayez le final de ces trois articles du numéro précédent, avec toutes nos excuses.
Georges Bernage.
Texte manquant page 13 : revienne, que l’on s’en imprègne. Une telle Merveille méritait bien un si bel écrin.
Texte manquant page 29 : mandent qu’à être déchiffrés, il ne reste qu’aux yeux avertis de les rechercher.
Texte manquant page 50 : C’est là qu’Arthur mourant fut porté après la bataille de Cubelin (2).