Patrimoine normand

Dans la catégorie "jeannine bavay" :

Coquille Saint-Jacques - Du blason à la toque

Coquille Saint-Jacques - Du blason à la toque

Telle la Vénus de Botticelli, ode à la pureté absolue, naissant du sein d’une coquille Saint-Jacques, le divin fruit de mer sait offrir sa beauté, sa saveur et son histoire au passant qui s’en soucie. Dès l'Antiquité, la coquille Saint-Jacques est placée sous l'invocation de Vénus et protège des sortilèges. Car la coquille Saint-Jacques, la « vraie », celle que l’on nomme Pecten maximus, (à ne pas confondre avec ses cousins plus ou moins éloignés) porte la trace d’une longue histoire qui démarre il y a plus de 150 millions d’années. Elle accompagne les pèlerins, et finit aujourd’hui entre les mains des meilleurs Chefs de cuisine.

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Les Dior : une famille normande

Les Dior : une famille normande

Le nom de famille Dior est attaché à un prénom : Christian. Christian Dior, ce nom évoque tout de suite le frou-frou des tissus, les parfums, le luxe, l'avenue Montaigne, la vie parisienne enfin. Pourtant, sait-on que presque toute l'équipe de la maison Dior, ouvrières, vendeuses ou directrices, était originaire de Granville ?

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Albert de Monaco revient sur la terre de ses ancêtres

Albert de Monaco revient sur la terre de ses ancêtres

Mercredi 27 avril 2011, le prince Albert était à Saint-Lô et Torigny-sur-Vire pour inaugurer une exposition consacrée à l'histoire de sa famille.

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Bernard Cauvin, à l’origine de la Cité de la Mer...

Bernard Cauvin, à l’origine de la Cité de la Mer...

Comment à partir d'un sous-marin et d'un bâtiment peu commun, avec du temps, beaucoup de patience et d'efforts pour fédérer les énergies et récolter de l'argent, est né un site touristique qui a déjà accueilli deux millions de visiteurs.

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Le Marité, dernier terre-neuvier normand

Le Marité, dernier terre-neuvier normand

Le Marité, de Fécamp à Granville, après sa restauration à Saint-Vaast-la-Hougue.

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La pêche à la morue, une véritable industrie

La pêche à la morue, une véritable industrie

La pêche à la morue dans les eaux de Terre-Neuve concernait des centaines de milliers d'hommes des régions littorales françaises et même de l'arrière pays : 12 000 navires, 450 000 hommes y étaient employés, approximativement, pour le XVIIIe siècle. Quatre-vingts dix ports du littoral français armaient pour cette pêche et parmi eux, les ports normands jouaient un rôle important surtout Granville et Fécamp.

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