La chapelle de Saint-Quentin-de-la-Roche au milieu de l’enclos paroissial qui a succédé à une ancienne nécropole mérovingienne. La commune de Soumont-Saint-Quentin étudie l’urgence des travaux à entreprendre. (Photo Rodolphe Corbin © Patrimoine Normand)
Grâce à son mari, le capitaine Fouquet Dulomboy, la comédienne Marie Joly repose dans son tombeau, sur le promontoire qui domine la Brèche au Diable. (Photo Rodolphe Corbin © Patrimoine Normand) |
Le site tourmenté de la Brèche au Diable et le Mont Joly ont, au cours du XIXe siècle, soulevé bien des passions chez les historiens et les géologues, et inspiré poètes et écrivains romantiques. Des découvertes récentes ont redonné un nouveau sens à l’ancienne église médiévale édifiée au cœur d’un éperon barré du néolithique.
L’église paroissiale
de Saint-Quentin-de-la-Roche
Retirée du monde depuis la réunion de la commune de Saint-Quentin-la-Roche avec Tassilly, puis avec Soumont en 1854, l’ancienne église paroissiale semble abandonnée au milieu de son cimetière. L’ancien village est bordé par trois autres communes dont Tassilly, Potigny et Ouilly-le-Tesson. Inscrite au titre des monuments historiques en 1927 comme simple chapelle, l’ancienne église gothique du XIIIe siècle a cependant attiré de nombreux pèlerins venant rendre leurs dévotions à saint Quentin réputé guérisseur de la coqueluche. Ce pèlerinage a cédé la place, vers la fin du XIXe siècle, à la traditionnelle fête de la Pentecôte. Des cartes postales du début du XXe siècle en perpétuent le sou...
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