Jean Gabin, la guerre, c’est pas du cinéma ! (© Coll.musée Jean-Gabin)
Durant la Seconde Guerre mondiale, les vedettes du cinéma français eurent des attitudes bien différentes. Certains paieront de leur vie leur engagement dans la Résistance, à l’image de Robert Lynen. D’autres, en revanche… Quant à Jean Gabin, immense star des années 1930, il part pour les États-Unis en 1941 et choisit de s’engager dans les Forces françaises combattantes en 1943. On lui refusera un temps d’aller au front, mais il débarque finalement à Brest en janvier 1945. Chef du char Sherman baptisé Souffleur II, alors qu’il est… claustrophobe (!), il combat en Alsace-Moselle, à la poche de Royan et participe à la prise de la résidence alpine d’Hitler, à Berchtesgaden. Jusqu’au 5 novembre prochain, le Normandy Victory Museum vous propose l’exposition temporaire Jean Gabin, la guerre c’est pas du cinéma, qui revient sur cet aspect méconnu de la vie de notre Normand d’adoption.
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