La sagesse, on en trouve partout. Elle est sans doute même davantage présente chez les « gens simples », gardant un lien intime avec la terre nourricière, que chez ceux qui échafaudent de belles théories dans l’atmosphère feutrée de leur bureau. C’est ce que démontre ce livre, écrit avec le concours de Catherine École-Boivin, qui reprend les paroles et pensées du défunt Paul Bedel, poète-paysan du Cotentin. Une philosophie de la vie respectueuse de l’environnement et visionnaire, qui n’est pas sans rappeler celle d’un certain Pierre Rabhi.
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