Notre professionnalisme — nous éditons de la presse normande et des magazines de renommée internationale depuis plus de trente ans —, notre qualité, tant de la forme que surtout du fond, nous ont hissé à cette première place, de l’avis des dépositaires, sans compter l’appui de nos nombreux abonnés. Nos milliers de lecteurs, vous-même, nous permettent de présenter ce patrimoine de notre région, c’est-à-dire tous les aspects majeurs de la vie régionale, le « Jacques-Louise », chalutier d’après-guerre fait aussi partie de ce patrimoine, de même que nos produits du terroir. Cette place fait des envieux et un magazine consacré à la seule Basse-Normandie, c’est-à-dire 45 % des Normands (les « Hauts Normands » sont majoritaires et « passés à la trappe » par ce jeune confrère) croit judicieux de nous critiquer en glosant sur le « patrimoine » et notre prix de vente de 6 euros. Ce dernier fait partie d’un prix de marché et c’est le prix moyen général de la presse magazine de France et de Navarre, qui subit d’ailleurs des reculs (des quotidiens aux magazines). Faire du « dumping » et vendre à perte pour essayer de conquérir un lectorat en devenir potentiel sur les confrères déjà en place…
Hauts Normands, nous défendons vos « pays », on ne vous balaiera pas de la carte, Bas Normands et Cotentinais qui nous ont toujours suivi depuis vingt ans, dont Vikland qui atteignait jusqu’à 8 000 ventes, nous comptons sur vous.
Georges Bernage.