Pendant des siècles, le chapitre de l'église cathédrale de Rouen dispose du droit de gracier et de libérer chaque année un condamné à mort. À l'origine de ce privilège exceptionnel, la victoire de l'archevêque Romain sur un abominable dragon. Du moins, c'est ce que l'on raconte...
Lire cet articleOn l'appelle la bête de Caen, mais aussi la bête du Cinglais ou encore la bête d'Évreux. Sous le règne du roi Louis XIII, au temps où ferraillent d'Artagnan et ses mousquetaires, cet insaisissable prédateur attaque et dévore plusieurs dizaines de personnes. C'est du moins ce que rapportent un certain nombre de documents contemporains. Cent trente ans avant le Gévaudan, la Normandie vit dans la terreur d'une " beste furieuse ». Le bon peuple murmure qu'un loup-garou rôde... De quoi réveiller les terreurs ancestrales !
Lire cet articleSi vous avez le goût du mystère, plongez vite dans cet ouvrage et laissez la Normandie vous ensorceler. Fontaine de jouvence, trésors cachés, châteaux et église hantés, étranges cimetières..., vous croiserez au fil des pages quelques fantômes, un ou deux dragons, des « goubelins » familiers et même une fé qui hante le bocage.
Lire cet articleGuillaume Néel nous conte, dans son ouvrage, le patrimoine normand qu’il fait revivre à travers les histoires des goublins. Mais qui sont ces goublins ? Dans le pays de La Hague on les nomme les « Drôles », par déformation du scandinave « troll » et dans le Val de Saire « Goublins », comme nos cousins anglais qui les nomment « Goblins ».
Lire cet articleBagnoles-de-l’Orne, petite cité normande, ne serait toujours qu’un vallon au charme romantique, au sein du plus forestier des départements bas-normands, si la nature n’y avait fait apparaître une source aux indéniables vertus curatives. Ce sont donc ses eaux qui ont permis à Bagnoles d’accéder à une notoriété nationale voire internationale.
Lire cet article« J’i rêvaé de Thor, reide enragi. Gimaez, fèmes, j’allons touot ravagi ! » Trente choristes chantent sous la direction minutieuse et exigeante de Jean-Louis Dalmont. L’enregistrement du dernier disque de Magène touche à sa fin. On connaissait l’association pour la mise en chansons de poèmes rédigés en normand. Cette fois, la gageure est plus osée encore, car il s’agit, ni plus ni moins, d’une comédie musicale, la première au monde dans la langue de Louis Beuve, Gires Ganne et Marcel Dalarun.
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