Anne d'Ornano dans son bureau à la mairie de Deauville et Laurent Corbin, rédacteur en chef du magazine Patrimoine Normand (© Eric Bruneval).
Festival de deauville, 20 ans de souvenirs
Le festival avait été proposé à mon mari — qui était alors maire de Deauville — à une époque où nous cherchions la possibilité d'allonger la saison. Dans les années soixante-dix, la saison à Deauville durait vraiment un mois. Juillet était correct mais le temps fort était août avec la saison des courses. Et, le jour du Grand Prix, le dernier dimanche d'août, le grand chic était de venir aux courses avec ses valises dans la voitures et de partie directement du champ de courses en direction de Biarritz où la saison se continuait pendant la première semaine de septembre. Ainsi, mon mari cherchait une animation qui soit totalement en dehors des chevaux, des courses, du polo, de tout ce que nous avions et qui puisse faire rester les gens quelques jours de plus, jusqu'à la rentrée des classes.
Nous n'avions pas d'idée particulière et le journaliste André Halimi, réalisateur de télévision, est venu proposer l'idée du festival du cinéma amé...
Il vous reste 81 % de cet article à lire
- commander ce magazine.
PRATIQUE
|
ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER :NOUS SUIVREPRATIQUE
|