La rue principale, à La Perrière (© Jean-Luc Péchinot).
Trop belle ! L’expression, durablement dans l’air du temps, pourrait (presque) être légitimée dans ce village qui a tout pour se la jouer. À en féliciter le chef décorateur… qui en a quand même fait un peu trop.
Trop. Si si, c’est quand même trop ! Mais on a beau se dire que le chef déco a conjugué là le passé au plus-que-parfait, il faut bien avouer que c’est sacrément beau. Arriver sur la place de La Perrière un soir d’été tient du « whaou ! » assuré, qu’on soit ou non un Parisien. De quoi réveiller une vocation d’aquarelliste des jours fériés… Tout y est. Comme un décor de cinoche qui n’a pas eu le temps de sécher. Le bleu intense de l’épicerie frangée de verdure, le violet de la glycine de l’auberge, le dégradé coloré de trois maisons à escaliers… dont une abrite une librai...
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Dossier "Le Perche" (16 pages) :
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